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Finished - 01:57
Gael Monfils
5
3
0
0
0
Jo-Wilfried Tsonga
7
6
0
0
0
Monfils
-
Tsonga
Score
1h55
Tsonga succède à Roger Federer au palmarès de l'épreuve. Voilà la meilleure manière d'entamer cette saison 2012.
1h54
La première balle de match est la bonne pour Tsonga qui fait craquer Monfils en coup droit. Il passe filet pour aller saluer Monfils avant de gratifier le public de sa célèbre danse des pouces.
1h52
Set 2
1h52
3
-
6
5-7 3-6
+
1h48
3
-
5
5-7 3-5
+
1h46
Monfils va maintenant servir pour rester dans le match.
1h46
Break confirmé d'un jeu blanc mené de main de maître par Tsonga.
1h45
2
-
5
5-7 2-5
+
1h43
Et c'est le break pour Tsonga sur un coup droit de Monfils qui fini largement dans le couloir. La différence est peut-être faite dans ce match.
1h42
2
-
4
5-7 2-4
+
1h42
30-40, balle de break qui ressemble à une balle de match pour Tsonga
1h37
2
-
3
5-7 2-3
+
1h34
Petite chute de Tsonga qui a glissé sur la fameuse inscription "Qatar" du fond du court. Le numéro 1 français s'est tout de suite tenu la cuisse droite en grimaçant ce qui a fait craindre une blessure mais ça semble aller mieux maintenant. A suivre.
1h31
2
-
2
5-7 2-2
+
1h25
1
-
2
5-7 1-2
+
1h23
1
-
1
5-7 1-1
+
1h20
0
-
1
5-7 0-1
+
1h20
Tsonga était mené 5/3 avant d'inverser totalement la tendance et de remporter 18 des 21 derniers points de ce premier set pour l'emporter 7/5. Monfils doit s'en vouloir.
1h17
La première est la bonne pour Tsonga. Monfils vient chercher son salut au filet mais sa volée de revers est trop longue.
1h16
0-40, Tsonga est monumental en cette fin de set, deux coup droits gagnant lui offre trois balles de premières manches
1h15
Set 1
1h15
5
-
7
5-7
+
1h13
Jeu Tsonga qui vire en tête pour la première fois dans cette partie. A noter qu'il a remporté 12 des 15 derniers points. La tendance vient peut-être de s'inverser sur le Center Court.
1h12
5
-
6
5-6
+
1h09
La première est la bonne pour Tsonga qui recolle à 5/5. Il est relancé dans ce premier set.
1h09
5
-
5
5-5
+
1h08
15-40, deux balles de débreak pour Tsonga qui appui sur l'accélérateur pour tenter de recoller
1h04
5
-
4
5-4
+
1h02
Enorme point de 31 frappes remporté par Monfils qui trouve l'énergie suffisante pour lâcher un énorme coup droit gagnant qui prend Tsonga de vitesse.
1h02
5
-
3
5-3
+
0h57
4
-
3
4-3
+
0h54
4
-
2
4-2
+
0h50
3
-
2
3-2
+
0h48
Monfils, pour sa part, ne se laisse pas perturber par les conditions et propose un tennis solide en ce début de partie.
0h48
3
-
1
3-1
+
0h47
Très tendu depuis le début, Tsonga semble commencer à trouver un peu de relâchement. Il tient son engagement.
0h45
2
-
1
2-1
+
0h41
2
-
0
2-0
+
0h40
"C'est sec ?" a demandé l'arbitre en parlant de l'incription "Qatar" du fond de court, "Vite fait" a répondu Monfils avec une petite moue. A suivre.
0h30
Le court a été séché et le match va donc pouvoir reprendr dans quelques minutes.
0h29
A noter que Tsonga n'apprécie que très moyennement cette interruption dans la mesure où il avait évoqué le problème aux officiels avant le début du match sans être entendu. En effet, la situation n'est plus la même maintenant puisqu'il compte un break de retard, un break concédé alors qu'il n'a pas pu se donner à fond pour défendre son service puisqu'il craignait de se faire mal.
0h05
Le match est suspendu. Les conditions très humides rendent le court trop glissant au niveau des lignes et de l'inscription "Qatar" juste derrière la ligne de fond.
0h01
Break d'entrée pour Monfils qui a bien tenu en défense pour pousser Tsonga à la faute. Ce dernier menait pourtant 40-15 mais il a commis trop de fautes directes dans ce jeu.
0h00
1
-
0
1-0
+
-
Tsonga au service pour débuter cette finale.
Jeu de service
Break
Inconnu
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Irrésistible, Collins rejoint les demi-finales à Rome  Depuis qu’elle a annoncé que cette saison serait sa dernière année, Danielle Collins développe un tennis de grande beauté. En effet, souffrant d’endométriose, l’Américaine ne semble pas pouvoir continuer à jouer sur le circuit après 2024. Opposée à Victoria Azarenka, Collins a déroulé son tennis pour s’imposer (6-4, 6-3 en 1h44). Qualifiée pour les demi-finales de Rome, pour la première fois de sa carrière, elle retrouvera une autre Biélorusse sur son chemin puisqu’elle fera face à Aryna Sabalenka (2e) pour une place en finale.  Bluffante, l’Américaine réalise une saison absolument mémorable. S’adjugeant 19 succès en 20 matchs, Collins compte déjà deux titres coup sur coup, remportés consécutivement, à Miami et Charleston. Le plus fou dans tout cela, c’est que sa seule défaite était survenue à Madrid, face à Sabalenka, sa future adversaire en demi-finale.   69e mondiale en janvier, Collins sera au pire 12e mondiale à l’issue du tournoi italien et s’affirme donc plus que jamais comme une candidate au titre partout où elle va.  Rendez-vous donc ce jeudi pour la 15e mondiale afin de savoir si elle peut aller chercher une nouvelle finale.
Djokovic, participant surprise à Genève ? Cette éventualité carrément comique il y a encore quelques jours semble devenir un peu plus crédible. En effet, comme le révèlent nos confrères suisses de Blick, le Serbe réfléchirait à une participation à l'ATP 250 de Genève afin d'accumuler un peu plus de matchs avant le début de Roland-Garros.   Il se pourrait que le numéro 1 mondial, toujours en quête de son premier titre de la saison, demande une invitation au tournoi Suisse. Auteur d'un début de saison très moyen, un tel choix lui permettrait d'engranger un peu plus de confiance en vue de la défense de son titre à Paris. Cela dit, 'Nole' n'a pas pour habitude de jouer un tournoi la semaine précédant un Grand Chelem, même s'il l'a fait une fois, en 2017. Cette année-là, il avait joué à Eastbourne avant Wimbledon.  Nos confrères suisses nous rappellent aussi que le 'Djoker' possède certains liens avec le tournoi, puisque Janko Tipsarevic, ami proche de Djokovic, est le beau-frère de Rainer Schuttler, co-propriétaire du tournoi Genevois.  Alors que le plateau du tournoi suisse est déjà très relevé pour un ATP 250 avec les présences de plusieurs joueurs de renom (Casper Ruud, Andy Murray, Nicolas Jarry, Taylor Fritz), le tenant du titre du prochain Roland-Garros pourrait constituer la cerise sur le gâteau.  Quoi qu'il en soit, la réponse sera très vite donnée puisque le tournoi n'a pour l'instant révélé qu'une de ses trois Wild-Cards (offerte à Andy Murray). Parmi les prétendants, on compte d'ores et déjà Matteo Berrettini, visiblement remis, mais aussi et surtout Grigor Dimitrov (10e), déjà sur place depuis son élimination à Rome.  Une chose est sûre, le Serbe n'a qu'à passer un coup de fil et il obtiendrait l'une des invitations restantes, au grand dam de, probablement, Matteo Berrettini.   Affaire à suivre…
Depuis mardi, la planète Tennis se divise sur le cas Thiem - Retour sur une polémique prévisible Roland-Garros aurait-il dû inviter Dominic Thiem ? C’est la question qui est sur toutes les lèvres depuis l’annonce des invitations pour Paris. Alors que l’Autrichien, double finaliste et quadruple demi-finaliste à Roland-Garros, a annoncé qu’il prendrait sa retraite à l’issue de la saison, le tournoi français a décidé de ne pas lui offrir d'invitations. Mais alors que la polémique enfle, une question se pose : Est-ce un vrai scandale ?  - Un choix pas vraiment surprenant Cette décision, bien que pas vraiment étonnante au vu des dernières éditions, ne fait pas l’unanimité. En effet, ce choix était assez prévisible. Si dans les années 80-90, il était assez fréquent d’inviter des joueurs étrangers, ce n’est plus le cas dans le passé récent du tournoi (à l’exception des invitations conventionnées avec les fédérations australiennes et américaines). Depuis 2003, seuls quatre joueurs étrangers ont été invités par le Grand Chelem parisien : Michael Chang (2003), Gustavo Kuerten (2008), Gaston Gaudio (2009) et Andy Murray (2020).  Parmi ces joueurs, trois avaient déjà été sacrés à Paris (Chang, Kuerten et Gaudio) et le dernier, Andy Murray, a une carrière encore plus impressionnante que celle de Thiem puisqu’il compte 3 titres du Grand Chelem, deux titres olympiques et a été numéro 1 mondial. Ainsi, le tournoi parisien a, depuis plusieurs années, choisi de privilégier les espoirs français aux invitations offertes à des joueurs étrangers ayant marqué de leur empreinte le tournoi. N’oublions pas que Schwartzman va lui aussi vivre son dernier Roland-Garros et n’a pas non plus été invité.  Une fois ce contexte général posé, on ne peut pas nier que ce choix reste matière à débats. D’ailleurs, depuis mardi, les réactions fusent sur les réseaux. Si certains prennent la défense de la fédération, d’autres crient au scandale. Des joueurs aux entraîneurs, en passant par les spécialistes et les journalistes, chacun y va de son petit avis.  - Des Français au soutien de leur fédération Plusieurs Français ont pris la parole pour justifier le choix fait par le tournoi. On pourra notamment citer Lucas Pouille, 229e cette semaine, qui, bien que privé d’invitation, a tenu à défendre le choix fait par Roland-Garros et la fédération. Il a ainsi déclaré : "Certes, il mérite, il a une carrière extraordinaire. Mais les jeunes qui sont entre la 110e et la 130e place la méritent également. Je trouve ça normal de les privilégier.” (propos relayés sur les réseaux sociaux).  Même son de cloche du côté de Quentin Halys. Le Français, 188e, a donné son point de vue sur les réseaux sociaux. Réagissant à une des publications qui a mis le feu au poudre, à savoir le tweet de nos confrères de Tennis Legend, Halys explique avec une certaine ironie : “Pourquoi ne pas crier au scandale à Vienne quand il ne donne pas de Wild Card à Lucas alors vu qu’il a gagné le tournoi déjà (en 2017) ?” Pour rappel, Tennis Legend avait réagi avec virulence à l’annonce des invitations, ce mardi : “Pas de Wild Card pour Dominic Thiem à Roland-Garros. On est quand même sur un immense manque de respect pour un joueur double finaliste du tournoi qui a juste été pendant plusieurs années le deuxième meilleur joueur sur terre battue derrière le Roi.” - Des spécialistes étrangers criant au scandale  À l’international, la pilule a beaucoup plus de mal à passer. En effet, plusieurs professionnels ont fait savoir leur désaccord avec le choix du Grand Chelem parisien. Gill Gross, analyste tennis travaillant pour Tennis Channel et l’US Open, a par exemple fait savoir son désaccord par un tweet assez clair : “D’habitude, je m’oppose catégoriquement à ce que l’on se plaigne de l’attribution ou non des wild cards (l’équité n’est PAS le but recherché). Mais je dois faire une exception ici. Dominic Thiem dans le tableau final, cela ferait du Roland‐Garros de cette année un bien meilleur événement, sans aucun doute.” Gross n’est pas le seul spécialiste en colère. José Morgado, journaliste tennis portugais de renom, n’a pas mâché ses mots, s’en prenant directement à la fédération française : "Je suis désolé mais le cas de Thiem est absolument impardonnable. Un non-sens absolu de la part de la Fédération française de tennis.” Enfin, on peut aussi citer l’avis très tranché de Sascha Bajin. Le Serbe, entraîneur de certaines championnes telles que Naomi Osaka (avec laquelle il remportera deux Grands Chelems) ou encore Karolina Pliskova, n’a pas aimé le choix fait par Amélie Mauresmo et son entourage. Visiblement très remonté, il a déclaré sur Twitter :  Roland-Garros ne va pas donner à Thiem, deux fois finaliste, une Wild Card lors de sa dernière année. C’est une blague… Désolé Roland-Garros mais c’est tout simplement terrible et celui qui a pris cette décision doit être ..... (vous les gars remplissez le blanc)” Quoi qu’il en soit, le choix a été fait par le t
Intraitable, Sabalenka rejoint les demi-finales à Rome !  Il n’y a plus aucune question à se poser, Aryna Sabalenka va mieux. Endeuillée par la mort de son ex-compagnon puis en perte de vitesse pendant plusieurs semaines, le tennis sourit à nouveau à la Biélorusse. Auteure d’un superbe tournoi de Madrid où elle s’est finalement inclinée en finale, malgré trois balles de titre (défaite 7-5, 4-6, 7-6 face à Swiatek), la numéro 2 mondiale conserve le rythme à Rome.   Malgré quelques matchs compliqués, elle continue sa montée en puissance. Opposée à Jelena Ostapenko en quarts de finale, la joueuse de 25 ans a parfaitement verrouillé le match pour s’imposer en à peine plus d’une heure (6-2, 6-4). Très solide au service (0 balle de break concédée) et toujours aussi agressive dans l’échange (12 coups gagnants, 11 fautes directes), c’est en profitant des imprécisions de son adversaire (18 coups gagnants, 18 fautes directes, 4 doubles fautes) qu’elle a très tranquillement rejoint les demi-finales.  Alors que des retrouvailles avec Swiatek en finale deviennent de plus en plus crédibles, la Biélorusse est en train de montrer toutes ses qualités de jeu sur terre battue. Finalement, il se pourrait bien que ce soit elle la joueuse avec le plus de chances de pouvoir empêcher la numéro 1 mondiale de s’imposer une quatrième fois à Paris. Pour une place en finale, la numéro 2 mondiale défiera, ce jeudi, la gagnante du duel entre l’irrésistible Danielle Collins (15e) et l’inépuisable Victoria Azarenka (24e). 
A Rome, Zverev avance confiant : “Je sais ce que c’est de gagner ici” Avec Stefanos Tsitsipas, il est désormais le grand favori au sacre italien. Alexander Zverev pourrait bien profiter de l’hécatombe romaine pour relancer sa saison. En effet, après un superbe début de saison (titre à l’United Cup, demi-finale à l’Open d’Australie, quarts à Indian Wells, demie à Miami), Zverev piétine un peu sur ocre. Habitué à bien jouer sur la surface, à l’image de ses trois demi-finales à Roland-Garros (2021, 2022, 2023) ou de ses titres à Madrid (2018, 2021) et Rome (2017), l’Allemand doit mieux faire. Avant d’arriver en Italie, le numéro 5 mondial affichait un bilan, sur ocre, assez décevant (3 victoires en 6 matchs). Oui mais voilà, le droitier allemand réalise un début de tournoi très solide. Alors qu’il va se présenter en quarts de finale sans avoir perdu de manche, l’Allemand pourrait se rappeler au bon souvenir du circuit ATP. Avant d’affronter Taylor Fritz pour une place en demi-finale (ce mercredi, pas avant 20h30), Sacha a tenu à prévenir ses rivaux. Il sait ce que c’est de gagner au Foro Italico : “J’attendais beaucoup de la saison sur terre et les premiers tournois ne se sont pas bien passés. Mais maintenant, je me sens à l’aise à Rome. Je sais ce que c’est que de gagner ici, je l’ai déjà fait. Mon tennis s’adapte bien à ces conditions et j’ai l’impression d’avoir un bon rythme de balle et de l’intensité dans les jambes.”
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