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Samantha Stosur
4
62
0
0
0
Francesca Schiavone
6
7
0
0
0
Stosur
-
Schiavone
Score
2h00
On ne pouvait pas rêver une plus belle finale, certainement l'une des plus réussies de ces dernières années avec une superbe championne à l'arrivée. Merci d'avoir suivi cette rencontre sur TennisTemple.com et rendez-vous demain, à 15h00, pour la finale du simple messieurs entre Nadal et Soderling.
1h57
''Jai regarder toutes les finales de ce tournoi et j'ai toujours écouté ce que disait la grande championne... aujourd'hui c'est moi la championne !'' ce sont les mots de Francesca Schiavone qui a également était magnifique lors de la remise du trophée. Son large sourire faisait plaisir à voir. Encore BRAVO !
1h42
L'italienne s'allonge sur la terre battue avant de l'embrasser à nouveau puis d'aller rejoindre son clan dans les tribunes. C'est peut-être bien le match de sa vie qu'elle vient de jouer !
1h39
Jeu, set et match Francesca Schiavone !! 7 points à 2 au jeu décisif de la deuxième manche. L'italienne a joué un tie-break de folie, elle est allé chercher cette victoire sans trembler jusqu'au bout ! Magnifique !!
1h38
Set 2
1h38
6
-
7
4-6 6-7
+
1h37
6-2 sur une magnifique volée courte croisée de revers !
1h36
5-2 pour Schiavone qui se détâche grace à un énorme coup droit !
1h34
Mini-break pour Sciavone qui pousse juste la balle dans l'espace libre sur une amortie mal touchée de Stosur (3-2)
1h32
Jeu Schiavone. Nous aurons donc le droit à un jeu décisif pour conclure ce deuxième set. Stosur a fait trop de faute sur ce jeu alors qu'on a eu l'impression qu'il y avait la place pour faire quelque chose.
1h30
6
-
6
4-6 6-6
+
1h27
Jeu blanc pour Stosur qui réplique du tac au tac ! On avait peur qu'elle tremble mais elle a au contraire passé la vitesse supérieure et a enchaîné les coups gagnants. Elle va surement tout tenter maintenant sur le service de l'italienne.
1h25
6
-
5
4-6 6-5
+
1h24
Jeu blanc pour Schiavone ! Maginfique maîtrise de l'italienne qui entame le jeu par deux aces et un service gagnant avant de conclure à l'aide de son coup droit. La pression est à nouveau sur Stosur !
1h23
5
-
5
4-6 5-5
+
1h21
Stosur n'a pas tremblé. Elle remporte son service sans se faire frayeur en passant à nouveau sa première balle à ce moment hyper important de la partie. Schiavone est au service pour rester en vie dans ce 2ème set.
1h20
5
-
4
4-6 5-4
+
1h19
Jeu Schiavone. L'italienne revient à hauteur en continuant à agresser Stosur dans son style atypique. Stosur va être sous pression sur son service. Attention danger.
1h17
4
-
4
4-6 4-4
+
1h16
Stosur est trop irrégulière jusqu'à présent. Elle donne trop de points dans les moments où justement elle devrait se montrer solide pour faire la différence. On ne le répètera jamais assez, une finale se joue pour beaucoup dans la tête et c'est pour l'instant l'italienne qui se montre la plus forte dans ce domaine.
1h13
Débreak de Schiavone ! Stosur n'est pas parvenue à poursuivre son efforts alors qu'à l'inverse l'italienne est repartie de l'avant après sa petite baisse de régime des jeux précédents.
1h12
4
-
3
4-6 4-3
+
1h11
Schiavone se ressaisit bien et ne se laisse pas distancée, bien aidée il est vrai par quelques fautes de Stosur qui a donné l'impression de devoir reprendre son souffle après deux jeux rondements menés. Attention à ne pas se relâcher.
1h09
4
-
2
4-6 4-2
+
1h08
Break confirmé blanc pour Stosur qui se relance totalement dans cette finale ! Le vent a semblé légèrement tourner sur les derniers points. A noter que Stosur n'avait pas obtenu la moindre balle de break avant le jeu précédent.
1h05
4
-
1
4-6 4-1
+
1h05
Break de Stosur qui arrive enfin à faire craquer Schiavone ! L'australienne hausse son niveau de jeu et profite dans le même temps d'une baisse de régime italienne.
1h03
3
-
1
4-6 3-1
+
0h55
Stosur qui s'en sort après avoir sauvé deux balles de break ! L'australienne était menée 15-40 mais elle a tenu bon et a su aller chercher ces points terriblement importants. Elle reste dans la course.
0h54
2
-
1
4-6 2-1
+
0h50
Jeu Schiavone. Attention Stosur a semblé complètement perdre le fil sur ces derniers points.
0h48
1
-
1
4-6 1-1
+
0h46
Stosur montre encore quelques signes de nervosité comme sur cette volée liftée de coup droit qui fini sa course largement dans le couloir mais elle remporte quand même son service.
0h44
1
-
0
4-6 1-0
+
0h44
Stosur a donné l'impression de pouvoir prendre l'ascendant dans cette première manche mais elle n'est pas parvenue à maîtriser les variations incessantes proposées par Schiavone. L'italienne a parfaitement brouillé les piste durant ces 10 premiers jeux. Voyons la réaction australienne.
0h41
Jeu et première manche Schiavone ! Menée 0-30, l'italienne n'a pas craqué et a continué dans sa filière pour finalement s'offrir le premier set sur un revers dans le filet de Stosur.
0h40
Set 1
0h40
4
-
6
4-6
+
0h35
Break de Schiavone sur une double-faute de Stosur, sa première du match ! L'italienne a pris sa chance sur jeu. L'australienne, un peu tendue, a passé moins de premières balles ce qui lui a été fatal. Schiavone va donc servir pour le gain de la première manche.
0h33
4
-
5
4-5
+
0h30
C'est magnifique ce que fait Schiavone jusque-là. L'italienne utilise tous les coups du tennis pour rester au contact. Lifts, slices, montéés au filet... C'est du grand tennis !
0h29
4
-
4
4-4
+
0h26
Jeu Stosur. L'australienne n'est pour le moment pas inquiétée sur ses mises en jeu. Sa première balle la met parfaitement à l'abris des velléités de l'italienne.
0h24
4
-
3
4-3
+
0h23
Jeu compliqué mais Schiavone tient également son service. L'italienne doit créer en permanence pour ne pas être débordée par la vitesse et la puissance du jeu adverse. C'est un début de match très plaisant à suivre.
0h20
3
-
3
3-3
+
0h15
Stosur perd ses trois premiers points sur son service mais elle tient quand même bon et remporte son engagement. Elle a été menée 0-30 sur ce jeu.
0h14
3
-
2
3-2
+
0h11
Jeu blanc également pour l'italienne qui réplique pour l'instant à la puissance adverse par une variation permanente des effets et une grosse longueur de balle.
0h09
2
-
2
2-2
+
0h07
C'est un grand soleil qui brille dans le ciel parisien parsemé de quelques nuages de beau temps aujourd'hui. Il n'y a quasiment pas de vent, la terre battue est bien sèche, des conditions de jeu vraiment idéales.
0h07
Nouveau jeu blanc pour Stosur qui maîtrise pour l'instant à merveille ses jeux de service sur lesquels elle n'a pas encore perdu le moindre point.
0h06
2
-
1
2-1
+
0h05
Schiavone remporte également son service avec autorité, la finale est lancée !
0h04
1
-
1
1-1
+
0h02
Premier jeu remporté blanc par Stosur qui est rentrée pied au plancher dans cette finale.
0h00
1
-
0
1-0
+
-
C'est parti, Samantha Stosur débute au service et elle vient de remporter le premier point de la partie.
-
Bienvenue à Roland Garros pour cette finale dames 2010, le match va débuter dans quelques tous petits instants sur le Court Philippe Chatrier.
Jeu de service
Break
Inconnu
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À Rome, Sabalenka met tout le monde d’accord La saison 2024 d’Aryna Sabalenka suit une trajectoire assez originale. Finaliste à Brisbane (battue par Rybakina) et surtout sacrée à l’Open d’Australie, la Biélorusse a connu un début de saison quasi-parfait. Oui, mais voilà, les choses se sont gâtées par la suite. Perdant une part de sa motivation puis subissant le décès de son ex-compagnon en mars, Sabalenka a eu du mal à rester concentrée sur son tennis. C’est simple, avant Madrid, la numéro 2 mondiale ne comptait que 4 victoires en 7 matchs.  Heureusement, elle a retrouvé le chemin de la victoire. Arrivant à Madrid en manque de confiance, Sabalenka a enchaîné les victoires, souvent difficiles. Revigorée par cette spirale positive, elle fait de nouveau figure d’épouvantail. Enchaînant des victoires sur Collins, Andreeva et surtout Rybakina, la joueuse de 26 ans a finalement calé en finale du tournoi espagnol face à la meilleure joueuse du monde, Iga Swiatek (7-5, 4-6, 7-6). Engagée dans un tournoi romain qu’elle n’a pourtant jamais gagné, la Biélorusse impressionne toujours autant. Portée par un public italien qui la soutient avec une grande ferveur, elle semble imperturbable. Remerciant son public après chaque match ou presque, elle se présentera en finale ce samedi. Alternant entre des victoires tranquilles et des matchs beaucoup plus difficiles, Sabalenka a toujours répondu présente. En effet, elle a sauvé des balles de match face à Svitolina avant de parfaitement maîtriser Ostapenko et Collins.  Plus que jamais numéro 2 mondiale, elle a gagné le droit de disputer une revanche face à son bourreau de Madrid, Iga Swiatek.  Dans une finale qui tend à devenir un classique, les deux meilleures joueuses de la planète vont donc se retrouver, deux semaines après s’être affrontées en Espagne, pour un 11e affrontement en carrière. Une chose est sûre : Sabalenka est en train de s’affirmer comme la seule joueuse capable de régulièrement challenger la domination de la Polonaise.
Rétrospective #2 : Le jour où Nadal et Federer se sont livrés à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire (Rome 2006) “Vraiment. Rafa est une personne géniale, avec de belles valeurs. Aujourd’hui, il m’a confié avoir pleuré quand j’ai gagné mon Roland-Garros en 2009 tellement il était heureux pour moi.” Cet extrait d’une des multiples interviews accordées par Roger Federer montre très bien la relation toute particulière qu'entretiennent ces deux légendes de notre sport. Cette même rivalité bienveillante qui avait réussi l’exploit d’attirer près de 52000 personnes, le chiffre record pour un match de tennis, à Cap Town en 2020. Questionné sur l’évolution de leur rapport à travers le temps, lors de la Laver Cup 2017, Roger se souvient : “Au début, Rafa était timide, toujours très respectueux envers les autres joueurs du top 10, et moi en particulier parce que j’étais numéro 1 mondial. Puis sa personnalité s’est affirmée. Nous avons eu de rudes et douloureuses batailles sur le court, quelques brouilles, aussi, mais il y a toujours eu un énorme respect entre nous.” Oui, Federer et Nadal ont connu plusieurs rudes batailles menant en effet à quelques brouilles. Et, l’une des plus mémorables remonte au 14 mai 2006 lorsque les deux légendes se sont affrontées en finale du Masters 1000 de Rome. - Un peu de contexte En 2006, ce sont les deux meilleurs joueurs de la planète. D’un côté, Roger Federer est incontestablement le tennisman le plus costaud. Numéro 1 mondial depuis février 2004, il est très solidement ancré sur le trône et ne le quittera plus jusqu’au mois d'août de l’année 2008. En face du Bâlois, c’est Rafael Nadal qui se présente. En 2006, c’est lui le challenger le plus crédible face à l’hégémonie du Suisse. Dauphin de Federer depuis juillet 2005, il le restera jusqu’en août 2008, moment où il finira par passer devant le Maestro au classement. Avant de parler un peu plus en détail de ce duel monstrueux, il convient de revenir sur les saisons de ces deux titans. À seulement 19 ans, ‘Rafa’ réalise un exercice 2006 de très haut niveau : il remporte 58 matchs sur 70, s’adjuge 5 titres (Dubaï, Monte-Carlo, Barcelone, Rome, Roland-Garros) et perd une finale (à Wimbledon, battu par Federer). Federer, de son côté, réalise une saison presque inhumaine. En 17 tournois joués en 2006, Roger ne chute avant la finale qu’une seule fois (battu par Murray à Cincinnati). Le Suisse, au sommet de son art, remporte 90 matchs sur 95 et s’adjuge 12 titres dont trois en Grand Chelem (Doha, Open d’Australie, Indian Wells, Miami, Halle, Wimbledon, Montréal, US Open, Tokyo, Madrid, Bâle, ATP Finals). Le seul à lui résister c’est ‘Rafa’. L'Espagnol privera le Bâlois de quatre titres dont bien sûr Roland-Garros ce qui empêchera le Maestro de réaliser le Grand Chelem calendaire. Heureusement, Federer maîtrisera bien mieux son adversaire sur la suite de la saison, remportant leurs deux derniers matchs. Ce n’est pas un secret, les duels entre Federer et Nadal ont marqué plusieurs générations de passionnés. Dans l’histoire du tennis, les « Fedal », c’est 40 matchs (24 victoires à 16 pour Rafa). 2006 restera l’année de leur rivalité puisqu’ils se sont rencontrés à 6 reprises. Beaucoup de leurs duels mériteraient un article. Seulement, ce qui nous intéresse ici, c’est le Masters 1000 de Rome. Et, en 2006, ces deux-là s’étaient livrés, dans la ville éternelle, à l’une des finales les plus mémorables de l’histoire du tennis. - Un match pour écrire l’histoire À cette époque, Federer est frustré. Restant sur 3 défaites consécutives face à l’Espagnol, il veut prendre sa revanche. Battu à Monaco, trois semaines plus tôt, le Suisse estime se rapprocher de la bonne stratégie : “J’ai joué plus intelligemment qu’à Roland-Garros (demi-finale 2005) aujourd’hui (à Monaco). Je me rapproche, j’ai fait un pas de plus vers la solution pour le battre sur terre.”. De l'autre côté du terrain, Rafa, 19 ans, est déjà un roi. Depuis sa défaite face à Igor Andreev à Valence en 2004, il en est à 52 succès consécutifs sur ocre. C’est ainsi qu'il se trouve déjà à une unité du record de mammouth de Guillermo Vilas (53 victoires de rang sur terre battue). Pour égaler l’Argentin, il doit s’imposer face à Federer au sein du Foro Italico. Là où, un an plus tôt, il avait battu, au terme d’un des plus grands matchs de l’histoire sur terre battue, Guillermo Coria. - Federer, un numéro 1 mondial revanchard Dès le premier point joué, Federer passe des paroles aux actes. Il a un plan. Il joue en plein dans le revers du majorquin, dans des zones assez centrales pour éviter de trop gros décalages et bondit au filet dès que possible. Remportant 15 points sur 18 au filet, il finit par s’adjuger le premier acte au terme d’un tie-break à sens unique (7-0). Perfectionnant son jeu depuis des mois pour pouvoir contrer Nadal sur ocre, le Suisse bluffe son monde. Utilisant l’amorti bien plus qu’à l’accoutumé, il fait m
Interrogé sur Roland-Garros, Roddick s’attend à un tournoi plus ouvert que jamais : “Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi” On le sait, cette édition de Roland-Garros s’annonce plus indécise que jamais. Du moins, chez les hommes. Pour rappel, Carlos Alcaraz et Jannik Sinner sont toujours en délicatesse avec leur physique, Novak Djokovic est encore très loin de sa forme et Rafael Nadal peine à retrouver un niveau vraiment satisfaisant. Ce contexte, rarissime dans le tennis masculin, risque de nous offrir un tournoi plus ouvert que jamais et certains outsiders pourraient finalement endosser un costume de favori. C’est en tout cas ce que pense Andy Roddick, ex numéro 1 mondial et vainqueur de l’US Open 2003. Dans des propos relayés par Tennis Channel, le champion américain, titré à l’US Open 2003 explique qu’un grand nombre de joueurs pourraient s’imposer cette année : “Chaque joueur du top 4 mondial, ou presque, a un problème physique à l’approche du tournoi. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de tournois du Grand Chelem au cours des 25 dernières années, en tout cas chez les hommes, pour lesquels nous puissions dire : ‘Oui, le tournoi est ouvert’. [...] Notre favori est un gars qui souffre d’une blessure à l’avant‐bras et qui n’a pas joué deux des trois derniers Masters 1000 (Carlos Alcaraz). D’ailleurs, Medvedev, Rublev et Ruud aimeraient aussi avoir leur mot à dire, tout comme Taylor Fritz et encore d’autres. Tout d’un coup, nous parlons de 12 ou 15 joueurs pouvant gagner le tournoi. Je crois que l’occasion se présente pour de nombreux joueurs que l’on ne considère pas forcément comme des favoris.”
Héroïque, Jarry renverse Tsitsipas à Rome C’est un vrai festival chilien qui frappe l’Italie. Après la qualification d’Alejandro Tabilo ce mercredi, c’est cette fois Nicolas Jarry qui a obtenu son billet pour les demi-finales. Opposé à un Stefanos Tsitsipas pourtant très en confiance, le numéro 24 mondial a fait preuve d’une grande résilience pour réussir à s’imposer (3-6, 7-5, 6-4 en 2h39). Dans un duel de haut niveau où les deux hommes ont joué un tennis très agressif, c’est finalement Jarry qui a été le plus costaud. Bluffant de réalisme, le Chilien a ainsi écarté 11 balles de break sur l’ensemble de la partie. Longtemps dominé, il a su faire le dos rond pour finalement profiter d’un petit coup de moins bien du Grec pour le coiffer au poteau. Rapidement mené d’un break puis d’un set (3-6), le joueur de 26 ans n’a rien lâché. Dominé une bonne partie du deuxième acte, il a finalement tenu sa mise en jeu, non sans écarter plusieurs balles de break, avant de surprendre Tsitsipas au meilleur des moments pour recoller (7-5). Bis repetita au dernier set. Malgré une superbe entame de son entame adversaire, Jarry va débreaker avant de réaliser un ultime break, synonyme de victoire (3-6, 7-5, 6-4). Qualifié sur une dernière défense de fond de court assez bluffante, il va donc vivre sa première demi-finale de Masters 1000 en carrière. De son côté, Tsitsipas manque une énorme occasion. Au vu de l’hécatombe romaine, le numéro 8 mondial avait une belle occasion de sacre. Surpris par un adversaire très relâché, il va devoir encore attendre s’il veut ajouter son nom au palmarès du tournoi. Bien que très en forme, il lui faudra encore mieux faire pour s’imposer à Roland-Garros, dans un peu plus d’une semaine. Nicolas Jarry, quant à lui, va devoir vite se remettre de ses émotions puisqu’il sera de retour sur le court dès demain pour y défier Tommy Paul, tombeur d’Hubert Hurkacz un peu plus tôt dans la journée (7-5, 3-6, 6-3).
A Rome, Swiatek continue de marquer l’histoire Iga Swiatek n’a pas notre temps. A 22 ans, elle est la patronne incontestée et incontestable du circuit WTA. Brillante, elle joue un tennis de très grande qualité, particulièrement sur terre battue. Après quatre matchs tranquilles, la numéro 1 mondiale a fait face à un premier gros test ce jeudi. Opposée à Coco Gauff (3e), elle y a répondu très favorablement. Bien que l’Américaine ait démarré le match pied au plancher en breakant d’entrée, Swiatek a utilisé toute sa science du jeu pour museler une adversaire encore un peu trop naïve (6-4, 6-3 en 1h47). Qualifiée, la Polonaise va donc vivre sa 25e finale en carrière, la 12e en WTA 1000. Il n’est pas certain que le grand public s’en rende bien compte mais ce que fait Swiatek a 22 ans est absolument historique. En 30 participations à des tournois de la catégorie, elle a donc atteint douze fois la finale (40% du temps). C’est simple, c’est le meilleur ratio depuis l’instauration du format en 2009, même Serena Williams ne fait pas mieux (37%, soit 18 finales en 49 participations). Bien consciente d’écrire l’histoire de son sport, la numéro 1 mondiale explique vouloir prendre de la distance avec les chiffres : “Honnêtement, je n'y pense pas vraiment, car c'est déjà beaucoup. Je vis ma vie au jour le jour. Je ne pense pas aux statistiques ou à l'histoire. Je pense que c'est plus facile ainsi. Cela vous permet de jouer de manière plus détendue et plus libre. Je vais juste essayer de jouer le meilleur tennis possible en finale. Si j'y vais doucement et pas à pas, je pense que ce sera mieux que si je pense déjà à la victoire. Le chemin est encore long. Il y a encore beaucoup de travail à faire.” Irrésistible, Swiatek visera donc un 21e titre en carrière ce samedi, performance qui la mettrait dans des dispositions parfaites en vue de Roland-Garros. En finale, elle pourrait bien retrouver, comme à Madrid, Sabalenka, à moins que Collins ne vienne gâcher la fête.
ranking Top 5 Kamis 16
malti 1 malti 12Poin
lhanzlot 2 lhanzlot 12Poin
patmau 3 patmau 12Poin
Nmassay 4 Nmassay 12Poin
Marion S. 5 Marion S. 10Poin
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